Juan RAMIREZ 

Originaire des Iles Canaries, très jeune, Juan est attiré par l’expression magique du langage du dessin empreint des couleurs du monde qui l’entoure. Dès 14 ans, il aide son père dans le magasin paternel, mais les difficultés de la vie le poussent à s’expatrier en Belgique, où il devient mineur pendant trois ans.  Le travail, l’effort et la ténacité le mènent à croiser le chemin de Salvador DALI, à Bruxelles, devant une galerie de peinture. Sa personnalité attire l’attention du Maître qui lui remet son numéro de téléphone.

Juan quitte les mines belges pour Montmartre. Après avoir revu DALI, ce dernier lui fera visiter Paris. Lors d’une invitation du Maître, Il réalise une toile, une cape sur les épaules et coiffé d’un chapeau noir. Il lance des œufs remplis de peinture sur une toile. Ces projections seront l’ébauche de la création. Un pinceau attaché à l’extrémité d’un fleuret qu’un ami lui avait offert, Juan donne naissance à une œuvre transpirante d’émotion, surgie du néant. Touché par cette créative ingéniosité ainsi que par les importantes qualités de Juan, avec son épée, DALI le nommera chevalier et fera de lui son fils spirituel et son filleul. Ils ne se quitteront plus. Juan Ramirez héritera du surnom de " d’Artagnan de la peinture " ou " Don Quichotte de la peinture ".

Recommandé par DALI, il va à New York et sera reçu par Andy WARHOL qui l’hébergera.

Les galeries du monde l’accueillent et Juan RAMIREZ sera reçu par de nombreux Chefs d’États et personnalités, dont il fera le portrait.

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