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Manifeste du supraréalisme

Le supraréalisme est un courant de pensée qui existe déjà, mais ce n'est qu'en 2008 qu'un premier Manifeste apparaît, écrit par Hervé Leroux et Laurent Marcoux (Canada).


« Il s'agit de la juxtaposition de deux concepts qui marquent particulièrement notre époque, à savoir d'une part, la recherche de l'excellence, d'où l'élément latin supra, signifiant « au-dessus, au delà », d'autre part le besoin de comprendre le réel par la Science (...) Aussi, le Supraréalisme vise à illustrer les mécanismes de la pensée qui permettent à un individu de s'éloigner ou de se rapprocher de la réalité, de la vérité donc, que se soit par l'usage de son imaginaire ou d'un élément extérieur d'une puissance particulière. Dans les faits, l'imaginaire joue un grand rôle dans la manière dont nous percevons et expliquons la réalité. Autant, des expériences fortes modifient notre perception du monde, nous rapprochant, bien souvent, d'une réalité inconnue auparavant. »


En partant du principe selon lequel l'homme a besoin de réflexions et d'émotions, la vie physique ne doit pas exclure la vie intérieure. Les deux se synchronisent perpétuellement dans la recherche d'équilibre psychique et sont essentielles non seulement dans la vie, mais aussi dans l'expression artistique.

Un deuxième Manifeste a vu le jour récemment, celui de Mad-Jarova

Artiste visionnaire avec une longue carrière de 50 ans, elle a consacré tout son temps aux recherches scientifiques et artistiques qui représentent la base de ce courant. Voici les extraits de ses commentaires concernant le supraréalisme : www.suprarealisme.fr

La légitimité du supraréalisme

Le supraréalisme n'est pas la pièce manquante du puzzle artistique de notre époque, il est sa moitié invisible, sa complémentarité. Le supraréalisme existe déjà à côté du surréalisme, mais reste discret, fidèle à son image d'inobservable. L'un exprime la sur-réalité, alors que l'autre plonge à l'intérieur de ce monde visible qui est la supra-réalité substantielle. L'un s'intéresse à l'inconscient, alors que l'autre s'intéresse au conscient (personnel et collectif).

Définition du supraréalisme

Le supraréalisme a germé pendant longtemps. Une nouvelle science s'accorde parfaitement au supraréalisme dans l'art.


Pour résumer, le supraréalisme est : REALISME, SENS et ESPACE INTERIEUR CONSCIENT. Ces trois caractéristiques sont intimement liées en un concept compact.

1 - L'expression de la réalité

Le supraréalisme a germé pendant longtemps. Une nouvelle science s’accorde parfaitement au supraréalisme dans l’art.

           

Pour résumer, le supraréalisme est : REALISME, SENS et ESPACE INTERIEUR CONSCIENT.

Ces trois caractéristiques sont intimement liées en un concept compact.

           

1. L’Expression de la supraréalité           

La supraréalité des formes vivantes est la première particularité du supraréalisme.

 

Le supraréalisme dans l'art a deux formes d'expressions 

inséparables : l'expression supraréelle du visible et celle de l'invisible.

 

  • L'expression du réel visible. 

    Les créatures et les situations dans le visible d’une œuvre supraréaliste sont imaginaires et improbables, mais le réalisme de leurs formes incite à les ressentir, à les accepter, et avoir l’impression de les connaître. Ce sont des pensées, des symboles, des vibrations psychiques dans des situations décalées de la matière. Grâce au réalisme de leur présence physique, ces créatures symboliques deviennent véridiques, puisque vivantes. Elles deviennent intenses et continuent à vivre à travers celui qui les regarde. Dans cette démarche, une déformation et un maniérisme ne seraient pas possibles. En effet, les déformations et les exagérations des proportions enlaidissent la créature issue de la nature, elles l’éloignent de sa source. La déformation systématique met toutes les formes dans le même moule. Cela ne permet pas de varier les expressions et d’avoir un large éventail de création, sans répétition. L’artiste supraréaliste doit pouvoir engendrer des présences d’état d’âme, des émotions, des sentiments, des caractères, toujours diversifiés et complexes. Chaque œuvre doit être une nouvelle naissance.

               

  • L’incarnation de l’invisible. Dans l’œuvre supraréaliste, une porte temporelle s’ouvre sur le monde invisible qui se dévoile progressivement. C'est le monde de la vie consciente et inconsciente. Ce sont des ondes concentrées de pensées et d’émotions, puisque tout est vibration, y compris la matière visible. Par conséquent, dans l’art supraréaliste, sous une forme perceptible, est mise en évidence la dualité complémentaire de l'invisible et du réel : le phénoménal devient apparent et sensible.    

2 - La recherche de sens

C'est la deuxième caractéristique du supraréalisme. L'art pourra se joindre, par sa force visuelle et émotionnelle, à ce grand projet qui est la création d'un nouveau courant de pensée concernant non seulement la culture, mais aussi notre façon d'être. Les œuvres supraréalistes n'enferment pas hermétiquement leurs énigmes avec des clés introuvables.

Elles extériorisent l'essence des grands thèmes de la vie et de la mort. Le grand art, l'art authentique a été et sera toujours universel. Il est percutant partout dans notre monde, sans appartenance à aucune religion particulière. Pourtant, il fait partie essentielle de la spiritualité humaine.

3 - Troisième caractéristique du supraréalisme :          Espace intérieur conscient

Dans le supraréalisme, le rêve est éveillé, donc conscient, afin d'ouvrir les portes secrètes sur notre espace intérieur, prendre conscience de sa richesse et l'explorer. Notre cerveau qui enregistre les faits réels a besoin de réflexions, d'émotions. Elles ne font pas partie de la réalité observable.

Sachant que toute la matière que nous observons est vide, que nous-mêmes, nous sommes remplis de vide, ce monde invisible est incarné par des moyens visuels imaginés qui sont des vibrations psychiques dans des situations visionnaires. Parallèlement à la réalité, ce monde invisible se révèle dans des formes et des visages de créatures d'une déformation impulsive, car cette distorsion les relie dans des courants inconnus.

 

4 - L’impacte du supraréalisme sur la science et sur la vie

Nous évoluons dans un monde de vide inobservable. Nous sommes un ensemble de vibrations dans le vide.

 

En effet, un noyau atomique représente une petite poussière dans un volume vide, aussi vaste qu’une cathédrale. Pourtant, la matière qui nous entoure paraît dure et stable.

 

Et, ce n’est pas tout. La matière observable dans l’univers ne représente que 10 % et la matière manquante, soit 90 %, est introuvable. Pour résoudre ce problème, les scientifiques ajoutent de la matière noire et de l’énergie sombre, sans les identifier.

 

Officiellement, il est convenu que le vide n’est pas vraiment vide. Mais il reste inobservable, il fait partie d’un monde invisible, que l’on décèle par les réactions entre particules virtuelles. Il y a spontanément et en permanence des créations de paires (particules de matière et d’antimatière) toujours en couple, mais l’antimatière reste introuvable dans l’univers.

 

Et ce n’est pas tout. Nous ne connaissons pas le mystère de la vie qui surgit d’une façon délibérée et spontanée, et ne comprenons pas l’intelligence cachée dans le réseau complexe de communication et de fonctions.

 

Dans les années soixante-dix, furent découvertes par les américains Philip Sharp et Richard Roberts les portions d’ADN non codantes baptisées introns. Les gènes occupent à peine 10% de la molécule d’ADN, alors à quoi servent les 90% restants ? Ce phénomène étrange ressemble à celui de la matière invisible dans l’Univers.

 

Dans notre monde, la symphonie de la vie dans son intégralité n’est pas audible. Comme si l’oreille humaine était incapable d’entendre les ultrasons. Cela ne veut pas dire qu’ils n’existent pas, car la nature montre toujours une logique et une tendance d’économie.

 

Même si la Science ne l’a prouvé que récemment, les grands penseurs se sont toujours doutés de la nature vibratoire du monde dans le vide.

 

L’art, la science et la philosophie ne sont pas concevables séparément, en dehors de leur rapport universel.

L’art, la science et la philosophie ne sont pas concevables séparément, en dehors de leur rapport universel.

           

Dans ce contexte, à l’époque où la science découvre l’existence du monde invisible, l’émergence du supraréalisme est normale. 

 

5 - Le Supraréalisme et les autres expressions          artistiques  

En partant du principe selon lequel tous les arts se rejoignent, les images de rêve peuvent surgir non seulement sous le pinceau du peintre, mais à partir de mots et de musiques, en laissant le soin à chacun de continuer la création de l’œuvre dans sa propre imagination. Ainsi des images de rêve éveillé captées dans des lieux inaccessibles peuvent devenir réellement existantes si elles prennent vie en nous. Le vide que la science cherche à explorer est le siège de tous les phénomènes inconnus.

 

La musique dodécaphonique apparue vers 1920, est une technique de composition musicale inventée par Arnold Schönberg. En même temps, des dizaines de compositeurs qui ont créé des œuvres exceptionnelles très originales et d’une profondeur fascinante, ont été placés dans la corbeille du postromantisme. Pourtant, tout un siècle a vu naître une nouvelle musique, sous le signe de l’émotion, de la réflexion et sur une réalité inconnue auparavant. La musique a son langage universel. Si elle exprime la richesse intérieure de celui qui parle, elle sera toujours création à l'infini et n'a pas besoin d'artifices.

 

La musique classique du 18e siècle est très agréable à écouter, relaxante et reposante, avec une orchestration bien ordonnée et bien rythmée.

 

Le romantisme du 19e siècle rompt la structure ordonnée du rythme et de la tonalité initiale par des ornements et des modulations. Mais, l’orchestre suit bien l’instrument soliste, en respectant les structures classiques.

 

La musique des compositeurs du 20e siècle, celle qui a été classée dans le postromantisme de la fin du 19e siècle, prend sa liberté pour mieux plonger dans l'émotion. Les états d’âme cristallisés par de nouvelles combinaisons des motifs musicaux expriment la richesse personnelle du compositeur.  Le thème de la joie et de la tendresse est rompu brusquement par le cri du tourment, qui se dégrade dans l’amertume par des marches descendantes. Les émotions conscientes deviennent des sentiments réévalués entre l’extase et la douleur, entre la tendresse et le drame à la recherche du sens : le sens de la vie. Les orchestrations deviennent beaucoup plus complexes dans leurs formes musicales.

Le concerto n°3 Korczack pour piano d’Elie Coff* (1999) est un dialogue impressionnant entre le piano et l'orchestre : une symphonie pour piano et orchestre. Les motifs mélodiques se développent en marches ascendantes saisissantes. 

 

Les symphonies de Hugo Alfven, mort en 1960, sont étonnantes.

Le concerto pour violon de Bortkiewicz, mort en 1952, est prodigieux. Sa force est ensorcelante, surtout dans le 2e mouvement, où l’on est fasciné par des sonorités  uniques. Cette musique s’écoute avec tout le corps et l’esprit.

C’est toute la différence entre la musique du 20e siècle et celle d’avant. D’un côté, le style galant dans sa légèreté lumineuse et, de l’autre côté, le style profond dans sa sensibilité grandiose.

Le supraréalisme dans la musique pourrait être le supraromantisme du 20e siècle. Cette musique est plus romantique que celle du 19e siècle dans le sens de la force de l’expression des passions exacerbées et le contraste entre une forme de révolte et de tristesse. Une ambiance mystique plane, elle enveloppe l’auditeur d’un voile magique. Le postromantisme était déjà sur cette voie. Cependant, nous ne pouvons pas classer, pendant plus d’un siècle les dizaines de compositeurs comme postromantiques. Par rapport aux autres compositeurs de la même époque, ils se caractérisent dans la recherche du sens. Le sens dans une œuvre musicale est le développement de la ligne mélodique. La musique a son langage universel, grâce auquel elle s’exprime. Le langage de cette musique est cohérant, conscient. Les phrases subliment une émotion pour la rendre vivante, telle une image en pulsation. L’harmonie est son alphabet. Sans elle, elle devient mutilée de ses moyens d’expression conscients.   

Mais pour mieux comprendre cette tendance culturelle, il vaut mieux la placer dans son contexte historique et social.

 

Dans le passé, la musique a été attachée à l’église, pour glorifier le royaume du Dieu. Puis, elle est entrée dans la cour pour amuser l’aristocratie et glorifier les hommes de guerre qui se voyaient anoblis, grâce à leurs exploits militaires. Les Te Deum étaient souvent des cantiques de l’Eglise pour glorifier les batailles. Il y avait des pièces musicales inspirées par la mythologie. La musique a été destinée à une minorité bien placée dans la société. Le grand public n’existait pas encore. Ce n’est qu’au 19e siècle que la musique se fait écouter par un grand nombre de personnes. C’est l’époque de la libération de l’amour (très bien expliquée par Luc Ferry). C’est l’époque du romantisme de la musique, de l’opéra où l’on mourait par amour. Cette musique prenait source dans la vie personnelle de l’individu et ses tourments sentimentaux. La guerre n’est plus un acte de gloire, mais sujet de conflit entre l’amour et l’ambition, où l’amour est vainqueur de la mort (Aida de Verdi). La musique de cette époque est passionnante, car elle concerne l’intimité de chacun.

 

Le 20e siècle a commencé par deux grandes guerres qui ne se limitaient pas aux champs de bataille, comme auparavant. Les civils étaient exposés à des désastres inconnus provoqués par les nouvelles armes sans précédent. Puis, il y avait les nazis, les guerres civiles, la guerre froide, le communisme, etc. Ce nouveau contexte politico social engendre une nouvelle tendance d’ampleur    émotionnelle au-delà du problème individuel. Dans cette situation, le postromantisme était précurseur, tel un signe prophétique des événements à venir. Les grands compositeurs de la fin du 19e siècle étaient des visionnaires.

           

Cela est un petit aperçu de la conjoncture historique qui a fait naître des compositeurs d’envergure, mais hélas encore méconnus.

           

Le sommet de l’expression supraréaliste se trouve dans le domaine du septième art. La nouvelle technologie numérique a ouvert largement les portes à l’imagination dans l’expression de l’invisible. Grâce aux images de synthèse, très complexes, travaillées sur des ordinateurs puissants avec des logiciels performants, les créateurs inspirés déploient toutes leurs possibilités d’imagination créative. On admire les créatures inexistantes, mais tellement vraies, on croit les connaître. L’histoire suit une idée sensée et consciente, (souvent la lutte entre le bien et le mal, entre l’amour et la haine). Ici encore, il y a la confrontation du personnage réel et de la créature imaginaire. Elle est le fruit du monde intérieur conscient du créateur.

           

Par rapport au surréalisme de Fellini où l’histoire est confusément suspendue aux rêves, ici elle est suivie d’une logique constructive.

Le but est précis : mettre en valeur une idée : « Avatar » (réalisateur James Cameron) est un film à grand succès, où l’idée est claire : confrontation entre la civilisation et la nature. Dans ce film monumental, l’imagination rend visibles les vibrations psychiques de la nature sous forme de filaments transparents. 

Dans le téléfilm « Deux Princesses pour un Royaume » les chauve-souris presque humaines nous surprennent. 

« Peter et Elliott le dragon » est un film émouvant. (Le dragon était fait en dessin animé. Ici, il est en image de synthèse, ce qui le rend plus vivant, parce qu’il est plus réel, ainsi il est plus attachant.) Réalisateur David Lowery.

« Le Seigneur des anneaux » « La Belle et la Bête » 2017 (nouvelle adaptation réalisée par Bill Condon) et beaucoup d’autres sont des œuvres magistrales. Elles marquent notre temps et resteront dans l’histoire du cinéma comme chefs-d’œuvres.

 

Dans le domaine littéraire, nous trouvons aussi des ouvrages du supraréalisme, par exemple : 

6 - Nouveau courant de pensée justifiée par l’évolution de la science. 

Basée sur les dernières recherches scientifiques dans le domaine de la physique quantique et ses phénomènes non expliqués, une nouvelle création devient naturellement conforme. L’essentiel qui est notre psychisme est inobservable. Par conséquent, l’essentiel est invisible.

 

Ce nouveau courant de pensée légitime le supraréalisme. Il est impossible de séparer la pensée de son expression culturelle qui est le sens de l’art, de tous les arts, y compris de la musique et de la littérature*.

7 - L’indépendance de l’expression artistique

L’art doit englober le tout, sans se soucier de l’opinion publique. Il doit rester indépendant de la pensée unique et ne pas hésiter à devenir perturbant, quoi qu’il arrive. Il doit être capable de se dresser contre l’ordre établi. C’est le prix à payer pour son authenticité.       

8 - Similitudes entre le surréalisme et le supraréalisme

Comme le surréalisme, le supraréalisme conscient met en valeur des images improbables, mais sans déformations pour faire croire à leur réalité.

           

            Les surréalistes cherchent à libérer l'inconscient qui est mis en vedette dans leurs démarches artistiques et littéraires. Leur inspiration est nourrie par les rêves, où l’inconscient gouverne dans toute sa splendeur. En 1924, André Breton le définit dans le premier Manifeste du surréalisme comme un « automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale… »    Leurs pratiques incluent, par exemple, l’écriture automatique. « L'écriture automatique est un mode d'écriture cherchant à échapper aux contraintes de la logique, elle laisse s'exprimer la voix intérieure inconsciente, dévie l'inconscient de la pensée. Il s'agit d'écrire ce qui vient à l'esprit, sans se préoccuper du sens… Enfin, pendant les séances de sommeil hypnotique, les participants notent leurs délires et hallucinations parfois provoqués par prise de drogues ou d'alcool. » La méthode paranoïaque-critique est « une méthode spontanée de connaissance irrationnelle, basée sur l’objectivation critique et systématique des associations et interprétations délirantes ». La théorie de la paranoïa critique de Salvador Dali est exposée dans son livre la Femme visible (1930). Il s'agit d'une « libre interprétation des associations délirantes ».

 

Les images de rêve de Dali sont très intrigantes et il leur garde soigneusement cet aspect énigmatique.

Les oeuvres surréalistes sont très personnelles et intimes puisqu’elles parlent du MOI intérieur inconscient. C’est une similitude entre le surréalisme inconscient et le supraréalisme conscient : ce sont deux facettes inséparables de la personnalité, non seulement de l’artiste, mais de tout le monde.

Du surréalisme à l’art contemporain il n’y a qu’un pas. Beaucoup d’artistes contemporains ont suivi la tendance de non sens héritée du surréalisme (l’art éphémère, installations etc). Ce phénomène est légitime, il est l’expression de la liberté artistique, la mise en vedette de la personnalité de l’artiste, indépendamment de son œuvre. L’exemple de Christo et Jeanne-Claude nous le montre. 

Les Christo croient en la séduction d’une création sans signification. 

« L’art aujourd’hui joue de l’information, la propagande, la publicité, l’emballage et la présentation, ce qui représente exactement l’œuvre de Christo. » Ces œuvres ne sont qu’une partie de l’art.

Emballer le Pont Neuf n’exprime pas sa beauté de création qui, elle, connaît des périodes de réflexion, de création, de réalisation et d’émerveillement, gravées dans sa mémoire.  L’emballer, c’est changer son apparence.

9 - Différences entre le surréalisme et le Supraréalisme

Les surréalistes ne s’intéressent pas au conscient qui est pourtant en dualité complémentaire avec l’inconscient. Le conscient et l’inconscient sont unis dans l’antinomie inséparable universelle du monde. Le sens dans l’art est l’expression du sens de la vie.     

           

Une autre différence entre le surréalisme et le supraréalisme se trouve dans l’expression technique de l’œuvre. L’invisible dans le supraréalisme est traité différemment, par rapport au visible. Il prolonge la réalité vers un autre espace pictural, au-delà du monde perceptible, et donne à l’invisible un visage et une forme qui deviennent la concrétisation, l’incarnation des vibrations psychiques. L’invisible devient conscient dans la mesure où nous pouvons l’identifier en nous et en dehors de nous dans le monde.

10 - Le Nouveau modèle scientifique

Le supraréalisme propose un nouveau modèle scientifique pour une Théorie unifiée, recherchée depuis plus de 100 ans. Il faut parfois oser sortir du cadre habituel, de la pensée unique, afin d’enrichir la connaissance de nous-mêmes et du monde qui nous entoure. L’apparence et son essence sont inséparables. Les nouvelles recherches scientifiques le prouvent. 

La théorie de la « Relativité essentielle » qui est la théorie scientifique du supraréalisme donne des réponses cohérentes concernant les phénomènes non expliqués. Elle est basée sur les observations qui identifient « le Mur de la lumière » appelé le mur de Planck. Il est la limite de la validité des lois physiques dans notre univers. Cette nouvelle théorie sera la base d’une nouvelle physique appelée la psychophysique, où se trouvent les réponses concernant l’absence de l’antimatière dans l’univers, l’énigme de la matière noire, l’identification de l’énergie sombre etc. Cette hypothèse justifie l’univers sans big-bang, en création permanente. Toutes les observations prouvent l’exactitude de ce modèle scientifique encore inconnu.

 

 

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